Collection Les Chiennes. Mon Beau-Frère S’Occupe De Moi (1/1)

• Sincères condoléances Radia, je serais toujours là pour toi.
Ta sœur Nouzha m’apporte le bonheur, depuis que je l’ai rencontré à Marrakech pendant des vacances, elle inonde ma vie.
J’aimais beaucoup Youssef, la vie, hélas, te l’a ôté.
• Merci Christian, je sais qu’avec ma sœur vous avez l’esprit de famille et que je vais pouvoir compter sur vous.
• Que comptes-tu faire, maintenant que tu es seule ?
• Mon mari est mort et je viens de l’enterrer et tu me demandes si je pense à le remplacer.
• Financièrement je l’entends, comment vas-tu vivre.
• Avec l’argent que tu vas me donner chaque mois sur les bénéfices de notre société et la part qui me revient au titre de veuve !
• Notre société, tu plaisantes.
• Pourquoi ?
• Comment crois-tu qu’il a financé tes besoins dispendieux ?
Comment crois-tu qu’il t’a payé une voiture coupée sport ?
Comment crois-tu qu’il t’a payé la villa de tes rêves sur la colline là où les terrains étaient les plus chers ?
Rajoute, ta piscine, tes cours et ton cheval, sans compter tes tenues que tu te faisais confectionner sur mesure.
• Avec ce qu’il gagnait Christian.
• Au début, mais rapidement il s’est retrouvé avec des découverts de plus en plus fort.
Il est venu me voir pour que je l’aide, il était incapable de te dire non, alors il m’a vendu ses parts dans la société d’informatique que nous avions créée.
Je possède cent pour cent de la société régulièrement enregistrée chez notre notaire.
Va le voir, il te montrera les papiers signés de sa main.
• Il me reste la villa, je vais la vendre, Youssef l’avait fait estimer dernièrement, 1 000 000 € avec les 10 000 m2 de terrain qui l’entoure.
• Là encore, tu vas tomber de haut, tu habites dans ma demeure, il l’avait hypothéqué et sentant qu’il allait faire sa connerie, il m’a demandé de mettre les fonds qu’il faut pour la lever.
Il a fait ça au moment où tu te voyais la première dame de notre commune et que tu l’as obligée à se présenter à la mairie.


Une fois encore, une fois élu, s’était facile, nous sommes la première entreprise de notre commune
Bien sûr, tu as surenchéri, tu as voulu qu’il soit député.
Quand il a pris sa veste, l’écolo ayant été élu, la facture, c’est avec votre maison qui l’a payé ?
Pendant qu’on y est, ta voiture est à la société, ignorant , comment te la payer, il m’avait demandé de l’acheter comme voiture de fonction.
Tu me donneras les clefs dès lundi, je te la laisse pour ce week-end.
• Christian fait quelque chose au nom de nos liens familiaux, je suis tout de même ta belle-sœur.
• Je sais, j’ai épousé Nouzha après l’avoir rencontré pendant ses vacances, elle est fourmi, Youssef est tombé amoureux de toi Radia, il a récupéré la cigale.
• Que vais-je faire ?
• Avant de se donner la mort, ton mari a tenu à me voir, j’ignorais qu’il avait décidé de se suicider.
Nous avons parlé de l’éventualité de l’un ou l’autre disparaissant.
Je pensais à une crise cardiaque dans son esprit et que nous nous engagions à s’occuper de la veuve.
J’ai accepté comme lui l’a fait envers ta sœur.
C’est le lendemain que j’ai compris quand j’ai entendu la détonation dans son bureau.
Tu emménageras dans la maison du jardinier que j’ai licencié, il y a tout le confort.
J’ai passé un contrat avec une société qui viendra chaque semaine voir ce qu’il y a à faire, ça nous coutera moins chère.
J’ai fait le calcul entre son salaire plus les litres de pastis qu’il buvait sur votre compte, sous couvert d’acheter des produits pour entretenir les plantes, je suis largement gagnant.

Je fonds en larmes, je prends conscience de ce qui m’arrive, à part le gite et le couvert, comment vais-je vivre, j’ai tout perdu.

• Une autre chose, j’ai promis à ton mari de te donner du travail.
Lundi tu commences au service emballage, tu sais Colette, c’est la responsable du secteur.
Je crois que tu as fait renvoyer son mari, car il t’avait coupé la route en sortant de son travail.

Il en est tombé malade, je doute qu’elle te laisse le temps de souffler.

La tuile, Colette, je l’ai toujours eu dans le nez, chaque fois que j’ai pu je l’ai mise plus bas que terre.
Je croyais l’avoir définitivement cassé en faisant renvoyer son chétif de mari.
Ce jour-là, j’en ai joui de joie en me masturbant lorsque j’ai été dans mon lit.
Mes plans était d’attendre un peu et d’en faire autant pour elle.

• Comment je vais faire pour aller au travail sans voiture, tu m’emmèneras, il y a huit kilomètres?
• J’y aie pensé, tu trouveras un vélo neuf à côté de la maison où tu vas emménager.
• Mais pour revenir, il y a la grande cote.
• Tu aurais dû y penser plus tôt, quand tu as fait construire, ça te fera les mollets.
• Je vais aller voir ma sœur, Nouzha m’aidera.
• Crois-tu, ta sœur est trop contente d’avoir un mari qui la laisse libre de ses achats sachant qu’elle a toujours été raisonnable ?
De plus, je crois savoir qu’en tant qu’aînée, quand elle a été en âge de voir des garçons, tu prenais un malin plaisir à te faire sauter avant que la chance vous a fait nous rencontrer.
• Et si je deviens ta maîtresse, tu m’offriras un logement en ville où nous irons passer des cinq-à-sept crapuleux.
• J’aime ta sœur et je lui suis fidèle.
• Pourtant entre sœurs, elle m’a fait des confidences, je sais que tu as voulu qu’elle te suce et elle a refusé.
Avec moi, je te pomperais jusqu’à ce que tes couilles soient entièrement vides.
Je sais aussi qu’un jour où tu la baisais en levrette, tu as voulu la prendre par son petit trou du cul.
Elle t’a mis une baffe ses doigts ayant marqué ton visage.
La sodomie, chaque fois, tu pourras me prendre comme ça, j’adore ça.
Youssef adorait aussi, si tu voyais mon anus, tu rentrerais dedans sans forcer.
• Tu veux parler gras ma belle, je vais en faire autant.
Nouzha me fait des fellations chaque fois que je le veux et si son anus est moins béant que le tient, j’aime plonger à l’intérieur chaque fois que je le veux.

La différence ma chère, c’est que ta sœur est une femme réservée et aussi pour parler de sexe même avec sa sœur.
Je suis pareil, le sexe, nous le pratiquons, mais dans l’intimité de notre couple, le tout pour autant sans tabou.

Voilà, j’ai tout perdu, je suis obligé de me mettre sous les ordres de cette pouffiasse de Colette.
Tout ça pour toucher le smic, même si le loyer m’est payé, passer d’un train de vie comme celui que j’avais avec Youssef à celui que je vis aujourd’hui, je me retrouve rapidement dans le rouge.

• Madame Radia, je vais être obligé de fermer votre compte, vous êtes dans le rouge Banque de France.
• Mais c’était pour m’acheter un vélo électrique que j’ai fait cette dette.
• Vous oubliez deux robes, une tenue de jogging sans oublier les heures de cheval que vous continuez à pratiquer, malgré la vente de votre cheval.
• Mais monsieur, il faut bien que je fasse du sport pour garder ma ligne.
• Et le salon de massage et de beauté, tout ça c’est du fric dilapidé surtout que vous en voulez toujours plus.

Une nouvelle fois, je rentre les larmes inondant mon si beau visage, grâce aux soins que je fais.
Je touche le fond.

• Radia, monsieur Christian vous demande.

Il est derrière son bureau, il tape sur son clavier d’ordinateur sans sembler me voir, je reste devant lui comme une cruche.
Presque dix minutes à lire des documents à l’écran.
Sans lever sa tête, il prend des papiers qu’il me balance devant moi.

• Radia, comme je l’avais promis à Youssef, je continue à m’occuper de toi.
Voici toutes les factures de tous tes arriérés faites depuis la mort de ton mari.
Aujourd’hui c’est moi qui ai besoin de toi.
Si tu assumes ce que je vais te demander de faire pour la boîte, non seulement ton compte sera de nouveau approvisionné.
Je ferais sauter ton inscription au rouge de la Banque de France, mais je te donnerais un poste moins pénible.

• Qu’attends-tu de moi ?
• Samedi soir, tu sortiras avec moi et un gros client.
Il faut que tu réussisses à le faire signer par tous les moyens.
• Tous les moyens.
• Oui, tu m’offrais ton trou du cul, je l’ai refusé, mais là tu iras jusqu’à lui offrir pour que nos employés gardent leur travail.
• Tu veux me prosti !
• Tu as tout compris, c’était l’une des demandes de ton mari quand je l’ai rencontré avant qu’il termine sa vie avec une balle dans la tête.
Il savait que tu serais incapable de te restreindre et que, rapidement tu ferais des chèques sans provision.
Quand nous avions besoin de ce genre de femme pour amadouer un client incertain, nous embauchions une escorte qui l’aidait à signer en lui vendant ses miches.
À partir de ce jour, tu seras la pute qui sera à mon service seulement pour le bien de l’entreprise.

C’est ainsi qu’à partir de ce jour, je sors avec les clients et que je me vends pour garder mon train de vie.
Rapidement je me rends compte d’aucune différence à faire la pute pour Christian, qu’écarter mes cuisses pour Youssef, mon mari décédé.
Je dois même dire que j’aime ces soirées, chaque fois que l’on fait appel à moi.
Chaque fois je fais du shoping pour être belle pour plaire au client que je pompe allègrement le soir venu.
Un seul point noir dans ma vie au travail, Christian m’a donné le bureau de mon défunt mari, les murs sont toujours marqués par des traces rouges.
Je lui en ai parlé, il veut qu’il reste en l’état quelquefois que j’aie des envies d’envoyer tout promener.
Sexe et argent me donne le luxe pour lequel je suis venue sur cette terre.

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